Les dirigeants actuels du pays, les « journalistes » qui leur sont inféodés et la classe politique presque tout entière sont donc capables de croire leurs compatriotes suffisamment idiots et dévoyés pour attaquer un hôpital. C’est la preuve d’un mépris de classe stupéfiant qui permet entre autres d’expliquer la violence de la répression policière actuelle: le Peuple n’est, pour eux, qu’un ramassis de crétins bornés qu’il faut dompter et dresser. Pour penser ainsi, il faut être soi-même fortement idiot et dévoyé.