Quel gouvernement, quel groupe politique, quelle force politique peut être assez vile et scélérate au point de vouloir enlever à un peuple un système de financement de sa sécurité sociale solidaire qui permet à ses membres de mener une vie décente de leur naissance jusqu’à leur mort?
Qui sont ces gens qui vantent un système fondé sur l’égoïsme, sur le seul principe de la réussite économique de l’individu, sur la contingence des résultats financiers d’un pays? Quels sont ces gens qui veulent jouer avec la vie des autres? Qui pensent que les risques économiques doivent être supportés individuellement et non collectivement?
Soit ce sont des ambitieux sans scrupule sûrs de pouvoir tirer leur épingle du jeu, soit ce sont des inconscients qui fondent leur certitude sur une croyance: la foi dans le marché. Mais derrière ce mot se cachent des personnes qui décident et qui décident toujours selon leurs intérêts propres et non selon l’intérêt général.
Le système social français fait partie du patrimoine national. Il n’est pas parfait. Il faut donc l’améliorer mais en amplifiant le principe de solidarité, en élargissant le socle de cette solidarité, en y faisant participer les forces qui n’y participent pas encore et non en développant et favorisant des outils de protection individuelle.
Qui sont ces gens qui vantent un système fondé sur l’égoïsme, sur le seul principe de la réussite économique de l’individu, sur la contingence des résultats financiers d’un pays? Quels sont ces gens qui veulent jouer avec la vie des autres? Qui pensent que les risques économiques doivent être supportés individuellement et non collectivement?
Soit ce sont des ambitieux sans scrupule sûrs de pouvoir tirer leur épingle du jeu, soit ce sont des inconscients qui fondent leur certitude sur une croyance: la foi dans le marché. Mais derrière ce mot se cachent des personnes qui décident et qui décident toujours selon leurs intérêts propres et non selon l’intérêt général.
Le système social français fait partie du patrimoine national. Il n’est pas parfait. Il faut donc l’améliorer mais en amplifiant le principe de solidarité, en élargissant le socle de cette solidarité, en y faisant participer les forces qui n’y participent pas encore et non en développant et favorisant des outils de protection individuelle.