Répression des mouvements sociaux.
Des Français donnent l’ordre à d’autres Français de réprimer d’autres Français. Au nom de l’ordre public conçu par une minorité d’autres Français.
Des Français tapent, blessent, mutilent voire tuent d’autres Français, sous couvert de servir l’Etat. Ils répriment leurs compatriotes, ceux que la classe dominante, qu’ils servent bassement, a désignés à leur violence.
Triste pays où de soi-disant serviteurs de l’État passent leur rage imbécile sur ceux qu’ils devraient défendre et protéger.
Comme dans les années 30 en Allemagne, ces héritiers directs des SA s’en prennent avant tout aux militants de la gauche progressiste.
Nous n’assistons plus à une dérive mais à la mise en place assumée d’un régime politique autoritaire violemment conservateur.
Dans l’indifférence générale, le petit cuistre en chef et sa clique distillent la haine et l’instillent dans les veines du pays.
Des Français donnent l’ordre à d’autres Français de réprimer d’autres Français. Au nom de l’ordre public conçu par une minorité d’autres Français.
Des Français tapent, blessent, mutilent voire tuent d’autres Français, sous couvert de servir l’Etat. Ils répriment leurs compatriotes, ceux que la classe dominante, qu’ils servent bassement, a désignés à leur violence.
Triste pays où de soi-disant serviteurs de l’État passent leur rage imbécile sur ceux qu’ils devraient défendre et protéger.
Comme dans les années 30 en Allemagne, ces héritiers directs des SA s’en prennent avant tout aux militants de la gauche progressiste.
Nous n’assistons plus à une dérive mais à la mise en place assumée d’un régime politique autoritaire violemment conservateur.
Dans l’indifférence générale, le petit cuistre en chef et sa clique distillent la haine et l’instillent dans les veines du pays.